Le cauchemar d’un soumis chez des lesbiennes

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il y a 8 ans
  • Arrête de rêver, c'est biologiquement impossible ! Dit Karen à propos des envies maternelles de sa compagne.

Elle passa la main sur sa cuisse, un éclair malicieux dans les yeux. Margaret la repoussa d'un air morose.

  • Qui a dit que je devais procréer ?

  • Eh bien, ils n'autorisent pas les lesbiennes pour l'adoption, enfin pas encore en tout cas.

Karen étira d'une manière languissante son corps nu et bronzé, sur les draps froissés.

  • Je ne parle pas d'adoption, tu te souviens de George ? Demanda Karen en riant franchement à l'évocation du souvenir. Cette créature que tu avais ramené du travail, notre esclave pour une semaine. C'était amusant ! Est-ce que tu penses que quelqu'un comme ça pourrait être notre bébé ? lui demanda-t-elle.

Un froncement de sourcils apparut sur le visage de Margaret.

  • Pourrais-tu t'expliquer s'il te plait ?

  • Je te parle d'un bébé mâle qui a déjà grandit. Encore mieux qu'un esclave. Beaucoup d'hommes aiment s'habiller et être traités comme des bébés.

  • Pourquoi ? demanda Karen.

  • Parce qu'ils sont pervers, ma chère. Comme l'était George.

Margaret sauta du lit et ouvrit en grand les rideaux.

  • Allez on en prend un, tu veux bien ?

  • Ça ne me semble pas très drôle. Langer un enfant maladif trop grand, qui aime être lavé à son âge, le nourrir et en plus devoir changer ses couches malodorantes. Mais pourquoi pas ?

Karen fit la moue en y pensant.

  • Nous pourrions essayer de trouver un bébé fille ?

  • Je refuse ! Dit Margaret en lui souriant. Je n'aurai pas confiance pas en toi, une seule seconde.

  • Dans tous les cas, un bébé garçon serait beaucoup plus intéressant. Imagine seulement toute la souffrance dont tu vas pouvoir l'accabler, comme tu as fait avec George.

Ses yeux s'illuminèrent.

  • Et pourquoi pas George ? Il sera là demain si on l'invite.

  • Peut-être que George n'a pas envie d'être notre bébé, répondit Karen.

Margaret se pencha sur le lit et l'embrassa.

  • George, ma chère, n'aura pas vraiment son mot à dire sur le sujet, maintenant est-ce qu'il fera l'affaire ?

Karen pouffa de rire en amenant Margaret sur elle.

George travaillait pour Margaret dans son magasin de nettoyage à sec comme chauffeur. C'était un célibataire de vingt-neuf ans, qui adorait éperdument sa patronne et qui se pâma presque d'excitation à l'invitation. Margaret lui donna une liste de courses à faire et un peu d'argent.

  • Ce n'est pas la peine de revenir avant que tu te sois procuré chaque chose sur la liste. Tu peux prendre ton après-midi et ne soit pas en retard ce soir. Tu as compris ?

Il arriva à six heures précises. Karen le guida à l'intérieur.

  • Tu as tout amené ?

  • Oui Maîtresse Karen, dit-il l'air nerveux. Sauf pour les culottes en caoutchouc, je n'en ai trouvé nulle part.

  • Bon, j'espère pour toi que les culottes en plastique ne poseront pas de problème, répondit Margaret d'un ton sarcastique. Soulagé, George les sortit de leur emballage en papier.

  • Tu sais à qui c'est destiné ? Lui demanda Karen en souriant.

  • Non, répondit George.

  • Pour toi idiot. Tu vas être notre bébé !

L'hilarité de Karen augmentait au fur et à mesure que le visage de George devenait de plus en plus pâle. Il avait bien pensé que la demande pour les courses était bizarre, mais même dans ses pires rêves... Il fit un bond vers la porte qu'il trouva fermée. Après une ultime tentative pour l'ouvrir, il se tourna vers ses deux persécutrices souriantes.

  • Laissez-moi sortir s'il vous plait, je ne veux pas jouer à ce jeu, supplia-t-il.

La transpiration perlait sur son front, alors que Karen commençait à défaire les paquets. Il se figea pendant que Margaret déboutonnait sa chemise.

  • Bien sûr que si mon bébé. Imagine Karen et moi, occupée à nous occuper de toi tout le temps. Qu'est-ce que pourrait vouloir d'autre un grand garçon comme toi ?

George regardait impuissant, pendant que ses habits tombaient sur le sol. Elle retira ses sous-vêtements et les jeta sur les autres vêtements. Son sexe gonflé, libre de toute contrainte se détendit.

  • Regarde-le ! S'exclama Margaret, en désignant Georges tout nu.

  • N'est-ce pas que tu n'as pas envie de nous quitter ?

Hagard George remuait la tête, il la suivit humblement à la salle de bain où Karen, ne portant qu'un long tablier de caoutchouc, avait préparé un bassin d'eau chaude. Dix minutes plus tard, tous ses poils pubiens avaient disparu. Pénis, scrotum et anus étaient aussi lisses que le jour de sa naissance.

  • Voilà ! Souria Karen. Maintenant, tu ressembles à un bébé. Tu veux un biberon tout de suite ?

Il n'eut pas vraiment le choix, Margaret poussa la tétine en caoutchouc entre ses lèvres et le menaça du fouet s'il ne l'avait pas terminé dans trois minutes. Il s'acharnait sur le petit orifice de la tétine, pendant qu'une grande quantité de crème était appliquée sur son aine brûlante, suivie par une couche. George regardait avec amusement Karen qui épinglait les côtés.

  • Tous les hommes devraient porter une couche, n'est-ce pas mon ange ? Ils deviennent si faciles à contrôler, si dociles, impuissants comme de vrais bébés, reprit Margaret qui remplaçait le biberon vide par un autre rempli.

  • Quand est-ce que tu as mouillé tes culottes pour la dernière fois, George ?

  • Lorsque j'étais enfant, je suppose.

  • Est-ce que tu penses le faire à nouveau ? piqua Margaret.

Il frissonna de peur.

  • Heu non... Enfin oui Maîtresse..

  • Pas Maîtresse, je suis ta Maman, et Karen est ta Nanou. Tous les bébés ont une Maman et une Nanou. Maintenant lève-toi et montre à Maman et à Nanou comment tu mouilles ta culotte.

Sa couche et sa culotte en plastique étaient lourdes et chaudes, mais pas inconfortables. Cela le dérangea de trouver l'humiliation si existante, son sexe durci sous les grosses épaisseurs.

  • Je ne peux pas, je suis trop excité.

Ses yeux naviguaient entre les femmes, Karen prit quelque chose sur l'étagère au-dessus d'elle ; un scalpel apparut dans sa main.

  • Ce sexe gênant va être un problème. Nanou a une méthode efficace pour soigner ça !

Alors que les ongles de Margaret s'enfonçaient dans ses épaules, Karen poussa sa main dans l'ouverture élastique de la jambes et tira dehors l'érection douloureusement. Les jambes de George s'affaissaient, pendant qu'il hurlait de peur et de douleur. La prise de Karen augmentait sur son membre pour en maintenir le contrôle. Voir la terreur se lire sur le visage de George maintenait un sourire figé sur son visage.

  • Tu n'as pas vraiment besoin de ça, n'est-ce pas ?

Il se figea alors qu'elle tenait l'acier froid contre son pénis, qui diminua rapidement de taille.

  • S'il vous plait, murmura-t-il en proie à une terreur sans nom.

La pression calculée, permettait de passer la lame légèrement sur sa peau, il ne pouvait pas voir mais il sentit une légère sensation de coupure. Sa terreur augmenta le sourire, sur le visage pâle de Margaret qui faisait face à son entre-jambes, sans rien dire. Toujours souriante, Karen montra ses doigts tachés de s a n g. Cette fois, j'ai fait juste une petite écorchure, mais c'est juste parce que je suis de bonne humeur. Maintenant, tu es prêt à mouiller ta couche ?

Plus tard, George nettoya les assiettes du repas et retourna se mettre à genoux devant la chaise de Margaret.

  • Maman, je suis mouillé, très mouillé.

Sa voix était enrayée par la nervosité du prochain comportement de sa Maman. Margaret le souleva pour le mettre debout, et le coucha sur la table. Pendant que Karen se penchait sur lui, Margaret retira la culotte en plastique et lui enleva sa couche.

  • Tu aimes ton premier changement de couches, le taquina Karen.

  • Mais qu'est-ce qui arrive au sale petit garçon ? Je crois que ce bébé a vraiment besoin d'une bonne fessée, pour lui apprendre la propreté.

Margaret tenait la couche mouillée à deux doigts avec un dégoût simulé, la plaqua sur visage de Geoge qui ne bougea pas.

  • George, lorsque tu étais un vrai bébé et que tu mouillais ta couche; ta maman ne te corrigeait pas, n'est-ce pas ? lui demanda Karen en souriant.

La voix de George étouffée par la couche, résonnait sous la masse détrempée de son urine.

  • Non, je ne crois pas, aucune mère ne frapperait son enfant pour avoir mouillé une couche. Après tout, c'est ce que vous espérez qu'un bébé fasse.

  • Mais ce bébé a grandit, ajouta Karen. Et il est devenu un homme qui n'a pas encore appris à se contrôlez, poursuivit-elle en faisant une mimique dégoûtée de la bouche. Et le seul moyen de le corriger définitivement de sa malpropreté, c'est en employant la souffrance et humiliation. Parce que tous les apprentissage se font dans la souffrance.

Elle s'étendit vers sa petite amie et lui donna un baiser sur la bouche.

  • Tu es d'accord ma chérie ?

  • Absolument mon coeur, répondit Margaret.

  • Punir celui qui mouille sa culotte, c'est une très bonne idée que tu as eue là Karen chérie. Qu'est-ce que tu en penses George ?

George ne pensait rien, il était abasourdi par ce qu'il venait d'entendre. D'instinct, il mit son pouce dans sa bouche et le téta furieusement.

  • Regarde, comme la pauvre âme tremble de froid, repris Margareth. Il me fend vraiment coeur, pauvre petit si fragile. Attends mon bébé, maman Margareth va te réchauffer.

Sans plus de cérémonie, les deux femmes retournèrent sur le ventre l'homme tremblant. Karen lui mit son derrière dénudé sur son cou tandis que Margaret attrapait une raquette de tennis de table.

  • Ca va te faire un peu mal mais tu auras bien chaud aux fesses, prévint Margareth.

Les coups commencèrent à pleuvoir, les hurlements et les cris résonnaient à travers la pièce. Lorsque son bras commença à être fatigué, Margaret tendit joyeusement la raquette à sa compagne. Les coups répétés firent passer les pauvres fesses de George de blanc à rose clair, et finalement à rouge foncé. Même ses cris avaient cessé, devenant juste un pathétique gémissement lorsque Karen amenait la raquette sur un endroit de la fesse, rouge foncé.

Elles le firent se mettre à genoux devant elles, puis embrasser leurs orteils en gratitude pour avoir reçu une telle attention amoureuse.

  • Tu es un bon garçon, roucoula Margaret. Tu peux partir, soigner ton derrière irrité et aller t'étendre.

George s'essuya les yeux d'une main et se traîna pour sortir de la pièce, embarrassé par les deux femmes qui se déshabillaient mutuellement dans son dos.

  • Tu sais que tu ne peux pas utiliser les toilettes, n'est-ce pas ?

George se retourna et regarda Karen, alors que celle-ci s'asseyait les jambes écartées sur la toilette.

  • Mais je vais bientôt avoir envie d'uriner, heu... Nanou.

  • Eh bien, nous ne pouvons pas nous permettre un accident sur le sol. Tu n'as qu'à revenir en portant une couche, c'est tout."

  • Prêt à fondre en larmes George regardait tour à tour les deux femmes qui se moquaient ouvertement de lui.

  • Ce n'est pas loyal, cria-t-il. Si je me mouille, je serai frappé.

Karen rit, s'approcha de lui et lui caressa le visage.

  • Oh, pauvre bébé. Comme la vie est injuste avec toi. Mais tu ne seras corrigé que si Margaret et moi pensons que tu mérites une correction. Maintenant donne-moi le rouleau de papier toilette, et regarde comment font les grandes personnes.

Margaret avait transformé la chambre de réserve en nurseries pour George, en mettant une feuille de caoutchouc sur le lit, et en y installant toutes les affaires de bébé. Karen poussa l'homme nu devant elle et le fit s'étendre sur le lit caoutchouté.

Margaret entra à son tour, munie d'un sac en papier.

  • Regarde ce que j'ai ramené de la pharmacie, dit-elle montrant l'intérieur du sachet à Karen. C'est juste ce que le docteur a prescrit, tu ne penses pas ? dit Karen en souriant.

  • Oh que si, avec ça va il va vraiment se sentir comme un bébé ! On en met combien ?

  • J'ai demandé à la pharmacienne, elle m'a conseillé un au maximum. Je suggère donc que trois devraient être suffisants, tu ne crois pas ?"

Elles se regardèrent puis éclatèrent toutes les deux d'un rire machiavélique. C'est à ce moment-là, que George réalisa ce dont elles parlaient et qu'il se prépara à vivre la pire humiliation de sa vie. Margaret sortit trois suppositoires de l'emballage, pendant que Karen enfilait des gants en caoutchouc et ouvrait le pot de Vaseline.

  • Mets-toi sur le ventre mon bébé, et ouvre-les jambes en grand. Oui comme ça, c'est bien ! Comme ça tu as vraiment l'air d'un bébé impuissant, lui dit Karen en s'asseyant sur le lit, puis en lubrifiant son anus avec la vaseline.

  • Maintenant mon petit, je vais insérer ces trois petits suppositoires dans ton derrière. Ça ne te fera pas mal, plus tard ça fera même beaucoup de bien à notre bébé.

George poussa un gémissement à chaque fois qu'un suppositoire était poussé profondément en lui. Des larmes coulaient sur ses joues lorsqu'il réalisa ce que Maman et Nanou lui réservaient. Voilà c'est fini, dit-elle en le remettant sur le dos.

Margaret le regardait et semblait lire ce qui se passait dans l'esprit de George.

  • Mon pauvre bébé ! Lui dit-elle en lui mettant une couche-culotte sous son derrière, qu'elle rabatti sur son ventre et fixa avec les attaches.

  • Ne t'en fait pas. Bientôt, tu voudras aller aux toilettes. Je veux, tu m'entends bébé ! Je veux que tu viennes demander la permission de les utiliser à Nanou ou à moi. Ce que je te propose est honnête, tu ne trouves pas ?

George sembla un peu apaisé par l'idée de cette proposition. Mais un doute subsistait et il osa remettre en question la sincérité de Margaret.

  • Je pourrai vraiment utiliser les toilettes ?

Les yeux de Margaret devinrent méchants et elle gifla au visage.

  • Comment oses-tu mettre en doute ma parole ?

George se mit à gémir et joignit ses mains comme pour prier.

  • S'il te plait Maman, supplia-t-il, pardonne-moi d'avoir douter de toi.

Margaret succomba sous son regard rempli de repentir et lui sourit.

  • Bien sûr que Maman te pardonne mon bébé. Quelle mère f o r c e r a i t son bébé à salir sa culotte, lorsqu'il y a tant de pots dans la maison. Tu peux me le dire ?

George paru apaisé par le ton doucereux de la voix de Margareth. Il leva son derrière avec soumission, alors qu'elle plaçait et épinglait une épaisse couche de tissu par dessus la couche-culotte. Pour finir, Karen enfila une étroite culotte de plastique transparente par-dessus la masse gonflée par les langes.

Margaret quitta la pièce et revint presque immédiatement avec un lourd vêtement en lin, duquel pendaient diverses lanières de cuir.

  • Ils l'utilisent dans les asiles d'aliénés, pour faire tenir tranquilles les internés. C'est une idée que j'ai eu pour protéger notre bébé. Qu'est-ce tu en penses Karen ?

  • C'est une excellente idée, ma chérie. Et facile à utiliser, même avec des couches.

  • Allez bébé. Rentre là-dedans, lui dit Karen en tenant ouverte la camisole de force devant lui

Nerveusement, George inséra ses bras dans la chemise rigide. Karen tira les lanières dans le dos et les boucla étroitement.

Il était maintenant totalement impuissant et ne pouvait bouger que les jambes qui sortaient de la masse de son énorme couche.

  • Comment te sens-tu ? Lui demanda Margaret.

George l'air penaud, garda le silence pendant un moment.

  • Un peu comme un bébé, finit-il par marmonner.

Cette fois, ce fut Karen qui le gifla pour lui rappeler la politesse.

  • Je suis désolé Maman, Nanou. Je me sens très bien et je suis heureux d'être votre bébé.

  • Voilà qui est mieux ! Maintenant nous avons prévu un traitement spécial pour toi.

Elles le bâillonnèrent d'un bâilon boule, il était si efficace qu'il avait des problèmes pour respirer ! Elles le firent s'asseoir au bout du lit, où sa taille fut attachée à la tête du lit et ses jambes douloureusement écartées, et maintenues ouvertes par deux cordes tendues sous le lit.

Maman et Nanou étaient nues et buvaient à petites gorgées du champagne au pied du lit. Les deux femmes riaient et gloussaient de leur travail manuel. Mais bientôt leurs attouchements et leurs caresses leurs firent oublier les verres, et leurs bras s'enlacèrent. George n'avait pas d'autre choix que de voir toute la scène. Elles ne laissèrent rien échapper à son regard, ni à son imagination. Bientôt la tête de Karen se plaça entre les cuisses de Margaret.

Cependant George, eut bientôt d'autres soucis à l'esprit alors qu'une forte crampe lui nouait le ventre.

  • Argh ! Gémit-il.

Il avait une grosse envie de déféquer. Et ce, juste au moment où il ne pouvait pas faire grand chose pour attirer l'attention des amantes passionnées. Il essaya de crier à travers le bâillon mais aucun son ne sortit et il était si étroitement attaché qu'il ne pouvait déplacer son torse qu'avec beaucoup de difficultés. Mais Margaret lui avait promis ! Elle avait promis, qu'elle le laisserait aller, lorsqu'il voudrait aller aux toilettes.

  • Regarde Karen, notre bébé apprécie vraiment le spectacle, il transpire de partout !"

George le savait, des rivières de transpiration coulaient sur son visage alors qu'il luttait contre la pression qui travaillaient dans ses intestins. Soudain s'en fut trop et il chia bruyamment dans sa couche. Une fois commencé, il ne put plus s'arrêter. Il se détendit et laissa ses intestins se vider comme ils le devaient. Les amantes arrêtèrent leurs effusions et regardèrent de travers le bébé adulte enfant ligoté à l'autre bout du lit.

  • Je crois que notre bébé vient de faire dans sa couche, dit Karen.

Elle rampa vers George et le renifla, un regard de dégoût apparut sur son visage.

  • C'est bien ce que je pensais. Il a fait dans sa couche-culotte. Comment as-tu pu mon bébé ? Surtout après que l'on t'ait promis que tu pourrais utiliser les toilettes si tu le demandais.

  • Tu es un sale garçon, souffla Margaret sur son visage. Une partie de ta punition sera de rester comme ça pendant plusieurs heures. Pour que tu puisses sentir à quel point tu es un sale môme, qui sent mauvais. Tu as déjà pensé à ta punition ?

Karen défit les cordes qui attachaient ses jambes au lit et l'aida à se mettre debout. George, le bâillon fermement planté dans la bouche, était incapable de communiquer avec sa Nanou. Il trébucha lorsque ses pieds touchèrent le sol et Karen du utiliser toute sa f o r c e pour le retenir.

  • Pauvre bébé, tes muscles sont ankylosés après cinq heures dans la même position. Tu dois te sentir misérable, n'est-ce pas ?

Effectivement il l'était. Il était fatigué, endolori, sale et avait froid. Elles avaient laissé la fenêtre ouverte pour qu'il n'empeste pas la pièce.

  • Suis-moi à la salle de bain. Maman t'attend avec un traitement spécial pour toi.

Il se dandina derrière elle, toujours enfermé dans la camisole qui affectait tous ses mouvements. Karen le laissa entrer devant elle dans la salle de bain, elle se mit derrière lui et comprima contre son sexe, la saleté contenue dans le bas de sa couche.

  • Bonjour mon bébé !

George fut surpris par la robe de Margaret alors qu'il entrait dans la salle de bain. Elle portait un uniforme d'infirmière en caoutchouc rouge, qui la protégeait totalement.

  • Je l'ai acheté rien que pour toi, qu'est-ce tu en penses ?"

Même s'il avait été capable de lui dire, il était davantage concerné par sa prochaine humiliation, que par le vêtement de sa tortionnaire. L'infirmière Margaret montra du doigt le sol carrelé.

  • Etends-toi ici.

Tremblant, il fit ce qu'on lui demanda et les deux filles se mirent à genoux de chaque côté de lui. La culotte en plastique fut d'abord enlevée, suivie de la couche en tissu qui était mouillée et tachée.

  • Met-lui sur sa figure, ça lui apprendra. Je ne veux pas voir son visage de bébé répugnant, dit Margaret d'un air mécontent.

Karen fit joyeusement ce qu'on lui avait ordonné, la comprimant un court moment, sur le visage de l'infortuné George. Ensuite, George entendis les autocollants de sa couche-culotte s'ouvrir et puis l'air frais sur son ventre libéré de la couche-culotte.

  • Quel sale bébé, grimaça Karen, couvrant son nez d'une main.

  • Qu'est-ce que tu espérais d'un homme ? Lui demanda Margaret. Ce sont tous des bébés et je suis contente de garder celui-ci avec des couches aux fesses pour le reste de sa vie. Comme tu peux le voir, c'est un soumis et il ne peut même pas contrôler le fonctionnement de son propre corps. Passe-moi le récipient d'eau, je vais nettoyer cette saleté.

  • Quelle punition proposes-tu pour lui ? demanda Karen, surprise que Margaret l'ait déjà relangé dans une nouvelle couche-culotte épaisse.

  • Regarde-le ma chérie, tu ne crois qu'il subit déjà sa punition ?

L'infirmière vétue de caoutchouc montrai du doigt le bébé adulte pleurant sur le sol.

  • Il a un bâillon dans la bouche pour qu'il ne puisse pas parler comme un adulte. Il va porter des couches vingt-quatre heures par jour et sept jours par semaine. Il n'aura pas le droit d'utiliser ses mains et sera dépendant de nous pour chaque besoin. Pas de toilettes, pas de nourriture. Comme tu as pu le voir, il ne peut même pas s'essuyer le derrière. Je crois que pour l'instant, la punition est suffisante.

  • Mais...Lui dit Karen.

Margaret la regarda et haussa les épaules en ajoutant :

  • Si tu veux le corriger, vas-y. Ne te gêne surtout pas pour moi.

Karen regarda la créature pathétique couchée sur le sol. Elle s'en approcha et la caressa longuement entre les jambes. Sous les doigts habiles de Karen, celui-ci ne tarda pas à avoir une formidable érection. Jamais il n'avait été aussi dur de sa vie. Karen le regardait dans les yeux, et suivait attentivement la montée du plaisir qu'elle provoquait chez le bébé adulte. Elle cessa brusquement ses caresses, quand elle lu dans le regard de George l'imminence de l'éjaculation et l'abandonna dans un état de surexcitation douloureuse.

  • Bientôt ton zizi ne sera plus qu'une pauvre petite chose molle de bébé, lui dit-elle en l'embrassant sur le front.

  • Oui ma chérie, tu as raison, dit-elle en embrassant tendrement Margareth. Je vais garder mon énergie pour m'occuper de lui. Cela semble trop beau pour être vrai. Maintenant nous avons un vrai bébé, qui va nous rendre heureuses pour le reste de nos jours.

Elles se caressèrent mutuellement, après lui avoir enfilé une nouvelle culotte imperméable, par-dessus la couche-culotte de George, qui pleurait toutes les larmes de son corps.

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